AQUÍ Macorina

Las Vacas (2020)

Création de théâtre-danse, avec les artistes Lucia Soto et Marina Carranza. Regard complice: Solange Oswald.

«Je ne veux pas construire. Je ne veux pas de murs. Construire un mur, c’est enfermer l’air. C’est enfermer l’espace. C’est enfermer la terre. C’est enfermer l’accès. C’est enfermer la force. C’est enfermer les mots. C’est enfermer les corps. C’est enfermer le sang. C’est enfermer l’amour.» Alexandra Badea.

Des palettes sur scène marquent le territoire. Le théâtre physique, la danse contemporaine, le tango argentin, les lettres de l’administration française et le texte «Contrôle d’identité» d’Alexandra Badea font partie du matériel de recherche et d’expérimentation de ce chantier; nouvelle création de la compagnie AQUÍ Macorina.

Corte Tango (2014)

Ce spectacle est issu de la rencontré du bandonéoniste-compositeur William Sabatier avec la danseuse-comédienne Marina Carranza et le danseur-chorégraphe Jorge Rodriguez.

«Corte Tango» est un spectacle qui par le biais d’un tango actuel, permet à trois artistes de se questionner sur le monde qui les entoure où musique et danse s’unissent et donnent corps aux désillusions contemporaines au coeur d’un Buenos Aires intemporel.

Spectacle en rupture avec une mise en scène classique, il affirme une identité contemporaine tout en s’inscrivant dans un continuum évolutif.

Quebrada (2009)

Solo interprété par Marina Carranza, mise en scène par Karine Monneau.

Parti des différents sens du mot «Quebrada», ce spectacle est une réflexion sur le tango, ses origines et ses clichés. Il parle également des moments de cassure, celle que l’être humain ressent lorsqu’il tente de s’adapter à ce qui l’environne, aux autres et à leurs regards. Le fil conducteur est celui de l’identité.

Après détours et recherches concernant l’identité sociale, psychologique, métaphysique, cette expérience de danse-théâtre pose la question simple de l’image de soi et de la douleur engendrée souvent par cette obligation d’être un être «adapté».

Jusqu’à quel point en sommes-nous complices, et à quel point désirons-nous sortir de ces enfermements?

Corte Tango (2014)

Ce spectacle est issu de la rencontré du bandonéoniste-compositeur William Sabatier avec la danseuse-comédienne Marina Carranza et le danseur-chorégraphe Jorge Rodriguez.

«Corte Tango» est un spectacle qui par le biais d’un tango actuel, permet à trois artistes de se questionner sur le monde qui les entoure où musique et danse s’unissent et donnent corps aux désillusions contemporaines au coeur d’un Buenos Aires intemporel.

Spectacle en rupture avec une mise en scène classique, il affirme une identité contemporaine tout en s’inscrivant dans un continuum évolutif.

Quebrada (2009)

Solo interprété par Marina Carranza, mise en scène par Karine Monneau.

Parti des différents sens du mot «Quebrada», ce spectacle est une réflexion sur le tango, ses origines et ses clichés. Il parle également des moments de cassure, celle que l’être humain ressent lorsqu’il tente de s’adapter à ce qui l’environne, aux autres et à leurs regards. Le fil conducteur est celui de l’identité.

Après détours et recherches concernant l’identité sociale, psychologique, métaphysique, cette expérience de danse-théâtre pose la question simple de l’image de soi et de la douleur engendrée souvent par cette obligation d’être un être «adapté».

Jusqu’à quel point en sommes-nous complices, et à quel point désirons-nous sortir de ces enfermements?